Film réalisé en partenariat avec l'ONG Bangladeshi Friendship projetée lors de la COP21 à Paris
Le film explique la problématique du Bangladesh face aux dérèglements climatiques, commenté par Yann Arthus-Bertrand avec les interventions de la fondatrice de l'ONG Friendship, Runa Khan. Les hôpitaux flottants de l'association, les "chars" îlots de sable qui abritent la population des eaux des fleuves, le trafic fluvial à Dacca, les petits villages des Sundarbans, l'impressionnant chantier de démolition de navires à Chittagong, autant de lieux parmi d'autres décrits dans ce film pour illustrer le propos.
La Meghna, quant à elle, rejoint la Padma en aval de la capitale du pays. Les alluvions déposées par ces fleuves créent des plaines comptées parmi les plus fertiles du monde.
Le Bangladesh a 58 cours d'eau de part et d'autre de ses frontières internationales, ce qui cause des problèmes politiques liés à l'eau particulièrement difficiles à résoudre ; il partage également des zones ripariennes avec l'Inde.
La plus grande partie du Bangladesh est à moins de 12 mètres au-dessus du niveau de la mer et environ 10 % du territoire est situé en dessous du niveau de la mer. 80 % des précipitations tombent pendant les cinq mois de la mousson (de juin à octobre), alors que 20 % seulement des terres sont protégées des inondations et équipées de drainage et d'irrigation.
Seulement quatre étendues sont situées en dehors du delta : les collines de Sylhet, la région montagneuse de Madhupur, la région vallonnée des Chittagong Hill Tracts et la zone de Barind.
Stock d'images aériennes du Bangladesh
Film réalisé en partenariat avec l'ONG Bangladeshi Friendship, projeté lors de la COP21 à Paris. Caméra stabilisée Cineflex - Papa Sierra sur hélicoptère Bell 407.
Les émissions de carbone sont compensées comme à chacun de nos tournages, solution très imparfaite qui nous conduit de plus en plus à abandonner l'hélicoptère et les longues mises en place de nos équipes au profit d'entreprises locales travaillant avec des drones.
Les émissions de carbone sont compensées comme à chacun de nos tournages, solution très imparfaite qui nous conduit de plus en plus à abandonner l'hélicoptère et les longues mises en place de nos équipes au profit d'entreprises locales travaillant avec des drones.